Pendant l’exposition universelle de 1900, Clara Charpentier joue la fée dans le Palais des Mirages conçu par son père. Un soir un accident, à défaut de lui coûter la vie, lui permet de rencontrer Lucas Sandstrom, suédois mystérieux investie d’une mission non moins mystèrieuse…
Autant dire otu de suite que je n’ai pas aimé ce live et que j’ai été déçu par rapport au précédent que j’avais lu, le quadrille des assassins…
J’ai trouvé le décor très agréable et très bien rendu, mais l’histoire m’a paru confuse. Même si je dois reconnaitre qu’Hervé Jubert à le chic pour mener son histoire où on ne l’attend vaiment pas (ce qui est, je trouve, plutôt une qualité) alors qu’il part sur un sujet super bateau du type « un groupe de personnes malfaisantes et ne pensant qu’à leurs intérêts on décidé de faire s’incarner une puissance maléfique » et bien cette histoire ne m’a tout simplement pas convaincue.
Pourquoi utiliser les divinités nordiques? (bon ok, il fait ce qu’il veut…) Pourquoi (attention, emportée dans mon élan, je dévoile quelques rebondissements, même si le fait de savoir que les méchants ne gagnent pas n’est pas vraiment une surprise, la surprise viens après) une fois que les méchants ont échoués, ils ne semblent pas en avoir grand-chose à faire? Pourquoi nous faire croire à une possible histoire d’amour et puis finalement non, comme si il avait changé d’idée en cours de route (bon vous me direz, comme ça on ne s’y attend pas, c’est bien) ? Pourquoi… Mais là si je continue, je vais vraiment raconter la fin!! Ah si, encore : j’ai trouvé tous les passages sur la disparition du grand frère complètement appuyés et, j’ai découvert plus tard, complètement orientés aussi, du coup. J’ai trouvé bizarre aussi les parents qui tout à coup se séparent alors qu’on nous explique bien au début à quel point il sont fait l’un pour l’autre… (Allez j’arrête vraiment sinon c’est mon billet qui va devenir vraiment confus:-)
Bref, je voulais parler quand même de ce roman car il pour cadre Paris et du coup avec mon swap je suis en plein dedans. Mais, autre mauvais point, j’ai lu ce livre il y a trois semaines et là quand j’ai voulu m’y remettre, j’avais tout oublié, il a fallu que je recherche loin dans ma mémoire pour me rappeler de tout ça (mais vous avez vu quand je suis partie, finalement je ne m’arrête plus!!).En plus je n’ai pas aimé le style employé dans ce roman que j’ai trouvé un peu grandiloquent par moment, ce que je n’avais pas du tout trouvé dans son autre roman. Finalement, il faut vraiment que je lise la série des Blanche dont j’ai emprunté le tome 1 depuis janvier pour me réconcilier (j’espère!!)!
Rassurez vous, à part moi, les autres ont aimés, alors peut-être qu’à vous il parlera…
Je l’ai acheté suite au billet de Clarabel … il attend sagement dans ma PAL pour le moment. 😀
Mais tu me fais peur quand tu dis que tu ne te souviens plus de rien. Pas bon signe généralement.
Le billet d’Alwenn m’ayant fait envie, il est dans ma LAL 😉
Et bien au moins c’est clair, je me demandais, je suis renseignée. Je vais lire les autres billets.
Il est sûr que par rapport à la trilogie Morgenstern, c’est moins bien. Mais bon, c’est de la littérature jeunesse alors je n’en demande pas trop non plus… ^^ C’est peut-être pour ça d’ailleurs que tu as trouvé que certaines situations étaient trop « appuyées »… Mais je comprends qu’on puisse ne pas trop aimer. Le mélange « anar/mythologie » est pour le moins inattendu…
Ce qui m’a gêné c’est que en plus de certaines situations appuyées, il y en a d’autres plutôt confuses, même si au final ça ne m’a pas empêché de comprendre! Mais bon, ce n’est pas parce que c’est de la littérature jeunesse que je suis moins exigeante…
@ Leiloona, Stéphie : et bien comme ça vous vous ferez votre avis par vous même…
@ Emmyne : c’est pas dit qu’il ne te plairait pas à toi!
Je l’ai noté il y a un moment… en me disant que je lirais si j’aimais le Jubert que j’ai chez moi. L’idée de la mythologie nordique me plaît particulièrement!