Je ne sais plus hier où j’ai lu le terme « giboulée de mai », mais je suis assez dépitée…
Déjà, je devais avoir aujourd’hui mon premir panier de la saison à l’AMAP où je suis inscrite et on nous annonce que non, un orage de grêle à détruit nos petits épinards tout jeunes et tout tendre et nos belles fraises qui attendaient avec impatience de se faire manger…
Et toc, aujourd’hui, rebelote, l’orage de grêle viens nous attaquer directement à domicile, une vraie boucherie, je ne sais pas si vous jouiez à Arkanoïd quand vous étiez jeunes, mais à un moment la balle qu’on lançait sur le mur de brique se multipliait d’un coup en …beaucoup de balles qui partaient très vite dans tous les sens. Et bien, c’est exactement ce qui est arrivé tout à l’heure sur ma terrasse qui est en patio et donc fermé de 4 murs : la grêle, non contente de tomber du ciel, rebondissait en plus sur les murs et partait dans tous les sens… Autant dire qu’elle a fait un carnage dans mes plantes grasses (mais elle a épargné les fraises, c’est déjà ça…)
Quand je pense qu’il y en a deux que j’ai sorti hier et qui n’ont plus de feuilles à l’heure où je vous parle…
Et que personne ne me dise que c’était prévu par la météo, je n’ai pas entendu de météo depuis je ne sais pas combien de temps, elle ne doit pas passer à l’heure où je me lève. Et puis d’une manière générale, c’est comme l’horoscope, je ne crois pas à la météo, donc ça ne sert à rien de le lire…. (snif)

Bon, je vous rassure, cette plante était déjà morte (le gel a eu sa peau) mais elle reflète bien la désolation qui a frappé ma terrasse. Demain, je porte plainte contre Météo France 😉
C’est vous qui le dites