Les tendres plaintes de Yoko Ogawa

26 Oct

Ruriko ne supporte plus l’infidélité et la violence de son mari et décide sur un coup de tête d’aller s’installer dans le chalet de vacances de son enfance. Là elle va rencontrer Monsieur Nitta, facteur de clavecin et Kaoru, son assistante. Elle-même est calligraphe et leurs univers vont se rencontrer.

Je ne sais trop quoi dire de plus si ce n’est que je me suis laissée porter par l’atmosphère douce et mélancolique de ce roman.

Je pensais que j’avais cerné le « style Ogawa » en lisant Le musée du silence et un recueil de nouvelles. je pensais que la Marche de Mina était d’un style différent de ce qu’elle faisait d’habitude. Et bien avec cette 4ème incursion dans son univers, je pense plutôt que j’ai lu par hasard deux romans semblables et depuis je continue à en explorer la diversité.

Mais quand même, et je ne saurais dire exactement pourquoi, j’ai bien retrouvé là un roman japonais…

3 Réponses to “Les tendres plaintes de Yoko Ogawa”

  1. Akä 28 octobre 2010 à 14:15 #

    Le titre, la couverture et ton commentaire me donne envie de plonger dans cette lecture, comme régulièrement depuis que je te lis! Mon carnet de références est à portée de main.
    J’en profite pour te remercier: peut-être l’ai-je déjà fait mais les tiques m’ayant sucé les neurones, mieux vaut deux fois q’une! Te remercier, disais-je, pour la lecture de La course au mouton sauvage, qui m’a enchantée. Galant homme n’a pas réussi à entrer dedans, il a aussi abandonné Kafka sur le rivage qui m’attend bien sagement dans notre pile à lire, qui n’a plus rien d’une pile – plutôt un amoncellement qui déborde l’étagère dévolue de toutes parts!

  2. Yspaddaden 29 octobre 2010 à 10:03 #

    Certainement bien trop japonais pour moi qui me suis terriblement ennuyée à la lecture de « La marche de Mina ».

    • Loula 29 octobre 2010 à 11:59 #

      En effet… En plus là j’ai eu l’impression d’un roman très classique

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